La démon |
J'ai fais un rêve ...
Je suis un flic, un de ces gars qui bosse en solo, travaillant sur une
histoire d'enlèvement d'enfant. Je suis devant une maison ou plutôt un manoir. J'ouvre
cette belle porte en bois ; je rentre. Je me retrouve dans un bureau (ne me demander pas
comment j'y suis arrivé) : une grande cheminée vide au fond, et un grand bureau quelques
mètres à sa gauche, sur lequel une petite lampe est allumée. J'avance doucement ; plus
je me rapproche, plus je ressens une vibration : c'est pas très claire, mais j'ai
l'impression que quelque chose se prépare. Un grincement interrompt la vibration :
instinctivement je me plaque au sol ; une rangé de lampe passe à quelques centimètres
de moi, puis disparaissent. Je n'avais pas remarqué tout de suite, le plafond n'est pas
un simple plancher de bois, il y a des jours entre les planches. Je me relève, et
remarque qu'il n'y a pas de sol dans la cheminé. En me rapprochant, je regarde le trou
qui ne semble pas posséder de fond.
Je lance une bobine de tuyau (d'arrosage ou d'incendie), qui provient de nulle part dans
le trou, et je descends en rappelle...
Je me retrouve au bout du tuyau, et je ne vois toujours pas le fond. Je commence alors à
remonter, lorsqu'après quelques mètres, une lueur inlocalisable semble éclairée le
puits. Peut-être que mes yeux se sont habitués à la pénombre ! j'ai l'impression qu'il
y a un fond, là tous près. Je redescend, et arrivé à l'extrémité, j'aperçois
quelques rats sur le sol, à près d'un mètre sous moi. Je me lâche est me vautre sur le
sol visqueux.
Devant moi, un grotte prolonge horizontalement ce puits sur une vingtaine de mètres. La
lueur semble provenir de là bas.
Ce couloir débouche sur un monde inconnu : comment cela peut-il être sous la terre, je
n'ai pas pu descendre plus de trente mètres !
Un ciel peu lumineux (style 19 heures en hiver) éclaire cette ville qui ce dresse devant
moi. J'ai l'impression que quelqu'un arrive derrière moi ; m'immiscer dans la ville sera
une bonne cachette...
Je me retrouve devant un grand édifice ; cela semble être une mairie ou un palais de
justice, avec une architecture d'église. Je gravis quelques marches (escalier).
A L'intérieur, il y a une foule peu épaisse. Une femme qui pousse un chariot sur lequel
est posé un attaché-case, semble être souffrante. Elle tombe sur le sol adossé au
chariot. La sécurité l'assoie sur un petit wagonnet (genre des petits trains postaux que
l'on voir en gare) et se dirige vers la sortir. Elle me demande d'apporter le chariot
qu'elle poussait. Je la suit jusqu'à la sortir.
D'un seul coup, elle bondit, prend son chariot et fonce vers la sortir. Je crois qu'elle
voulais échapper à la sécurité. C'est peut être une voleuse, et donc moi son
complice. Obligé dans ce cas à prendre la fuite avec elle.
Nous nous dirigeons vers la porte de la première maison sur notre gauche. Nous y entrons,
et nous nous retrouvons dans une toute petite pièce. Seule sortie, la fenêtre. Elle
donne sur le toits (plat) de la maison voisine.
Là (je ne sais ni pourquoi, ni comment), un homme passe par le fenêtre sur le toit, et
me tends les mains pour que je lui passe la mallette. La fille passe et m'interpelle :
donne la mallette et monte.
- « qui a-t-il dans cette mallette »
- « des informations sur les enfants clonés » dit-il.
- « alors, ces enfants kidnappés sont des clones ».
- « quel clone ?» dit-elle.
Puis, nous nous retrouvons tous les trois sur ce toit. Il y a rien , ou plutôt, le vide
(au bout du toi).
- « ils ont réussi ? » dit-elle. « on va enfin pouvoir ce reproduire ».
Sur ces quelques mots, je reste complètement perplexe.
Pris de panique par l'entrée de la sécurité, la fille nous pousse tous les deux en
disant « allez on saute ».
- « Ahhhhhhh » dis-je en tombant infiniment.
- « Allez, sortez vos ailes ! » dit-elle.
- « Quelles ailes » dit-on tous les deux.
- « Mais, vos ailes ! » ... « Vous êtes des humains ? » dit-elle extrêmement
surprise.
Elle nous prends tous les deux dans ces bras puis déploie ces ailes. Nous planons
quelques instants avant d'apercevoir dans la pénombre un sol qui été si proche.
« C'est là » dit-elle en se dirigeant vers un disque blanc au sol.
A quelques mètres, le disque se fends, et ouvre un passage dans lequel nous continuons
notre descente. Ce puits est bien plus grand que celui que j'ai emprunté pour venir. Lui
aussi, il est éclairé de cette lueur qui viens de partout et de nulle part. J'aperçois
plus bas une plate-forme vers laquelle nous nous dirigeons. Bizarrement, il y est écrit :
« Apollo 13 ». Délicatement, elle se pose, et nous relâche. Complètement
désorienté, je tombe sur les fesses. Assis, je me retourne, et regard cette jolie fille.
Elle a des beau yeux marron - orangé, avec une pupille en amande. Est-ce un démon ?
Dernière mise à jour : dimanche 06 janvier 2008 |